Maxime P. Marchelier / Baby you light up my world like nobody else

Les Marchelier, grande famille bourgeoise depuis des siècles, vivant dans le quartier riche de Paris. Le 17 Novembre 1985, la famille Joielier mariaient leur plus jeune fille au charment et prometteur fils Marchelier. Bien que cette union n'eut pas était souhaitée par les deux jeunes gens, ils n'eurent pas le choix selon la coutume de leur famille de se mariait avec quelqu'un issue du même monde qu'eux. Se fut un très grand mariage, un dès plus beau, et certainement le plus populaires de cette année 85. Les faux sourires, hypocrites et tristes au moment où la photo de mariage fut prise. Voilà, c'était fait, les plus grandes famille de Paris venait de s'unirent. Le couple vivaient maintenant dans un grand et magnifique appartement, les sentiments l'un envers l'autre n'était pas vraiment présent mais il fallait bien qu'il le soit, ils n'avaient plus le choix car leur famille souhaitaient plus que tout un héritier bien évidemment. Le jeune homme n'était pas vraiment quelqu'un d'exemplaire, dès qu'il avait l'occasion il l'a trompait, il savait bien qu'il était physiquement quelqu'un de très charment et il n'avait aucun problème pour avoir n'importe quel femme, surtout qu'il voyageait souvent et en profiter bien. Malgré cela la jeune femme essayait de tout faire pour être une épouse exemplaire. Deux ans plus tard, plus précisément le 17 octobre 1987, un des seuls jours de bonheur qu'ils eurent, la naissance de leur fils Maxime P. Marchelier. Tout le monde espéraient qu'il soit la fierté de leur famille. Mais il avait peut être parlé trop tôt. Un soir, assez tard, Maxime se trouvait dans sa chambre, allongeait dans son lit, serrant contre lui son ours en peluche les yeux rivait sur le plafond. Il entendait les cris de ses parents, son père venait de rentrait complètement ivre. Son père criait tellement fort et sa mère aussi, qui essayait de le résonner, cela fit lever de son lit. Il emprunta le long couloir qui menait jusqu'au salon quand il observa du coin de la porte son père gifler violemment sa mère qui se retrouva au sol. Il s'approcha près de son père, les yeux plein de larmes, quand celui ci s'approcha de lui pour le tapait lui aussi. Sa mère s'était relevée et avait pris un vase qui se trouvait sur la table du salon et le cassa sur la tête de son mari. Maxime ne vit plus son père de la même façon et souhaita au plus profond de lui ne pas devenir cette homme, si faible et ignoble qu'était son père. Une nouvelle histoire allait être écrite mais sa il ne le comprendrons bien plus tard.Le jeune garçon grandit dans la noblesse de sa famille, plusieurs nourrisse qui s'occupait de lui, un professeur de musique ainsi qu'un professeur particulier pour apprendre encore plus. Grâce à cela c'était un garçon bien élevé, qui est plutôt doué à l'école. Mais ce qu'il souhaitait le plus maintenant c'était de distinguait des autres, ne pas être connu juste pour son argent.

Les années passèrent, le garçon eut une enfance de rêve, jouer à gogo, tout ce qu'il voulait il l'avait. Il se plier au règle de vie strict que lui enseigné ses parents. Sa mère remarqua bien vite que sont fils ne serait certainement pas celui dont leur parents rêver. Monsieur Marchelier avait beau avoir un fils, il ne s'en occuper pas vraiment, le travail passer en premier ainsi que les femmes. Et bien oui, il avait beau avoir une femme et un enfant cela ne l'empêcher pas de continuer ses escapades qui duré tard dans la nuit. Il avait beau dire à sa femme qu'il avait beaucoup de travail sa n'excuser pas tout, et puis elle n'était pas bête elle savait bien que sont mari avait des aventures. Elle lui rester fidèle car ce n'était pas dans ses valeurs de tromper son mari. Au fur et à mesure que les années passèrent le jeune garçon développa une haine de plus en plus forte envers son père. Le jeunes garçon à bien grandi maintenant, il vit seul chez lui et c'est bien mieux comme sa. Étudiant en Histoire-Archéologie, il fait quelque chose qu'il lui plait, même si il doit encore assister au soirée mondaine qu'organise sa famille, où chemise blanc et costume noir son de rigueur.